Un besoin psychologique disais-je donc, et construit de toute pièce. Aujourd'hui, pour faire un film dont l'action serait ancrée dans les années 50, on procède à de vastes traitements de l'image (matériels ou logiciels), car nous ne comprendrions pas de visualiser des images cristalline, colorées, vives, bref, « réelles ». Notre cerveau, pour chaque génération, pour chaque progrès, a considéré comme acquis le fait que les images tournées à une époque définie avaient des caractéristiques bien précises, de nombreux défauts et limites liées aux technologies d'alors. Et il en a besoin ! J'abordais partiellement ce point dans mon précédent article sur les besoins de la retouche.
Un besoin psychologique disais-je donc, et construit de toute pièce. Aujourd'hui, pour faire un film dont l'action serait ancrée dans les années 50, on procède à de vastes traitements de l'image (matériels ou logiciels), car nous ne comprendrions pas de visualiser des images cristalline, colorées, vives, bref, « réelles ». Notre cerveau, pour chaque génération, pour chaque progrès, a considéré comme acquis le fait que les images tournées à une époque définie avaient des caractéristiques bien précises, de nombreux défauts et limites liées aux technologies d'alors. Et il en a besoin ! J'abordais partiellement ce point dans mon précédent article sur les besoins de la retouche.